«De nouveau me rêve le rêve. Le même rêve,
Il tourne dans le mien сознанье, comme la roue …
… il me Resta sur la mémoire de toi,
Ton portrait, le portrait du travail de Pablo PICASSO »…
© Natalia Jaroslavova-Chistjakova
Le 29 octobre, Saint-Pétersbourg
L'ANNONCE
«Se rappelle le nom : j'ai appelé comme le Gage Jaroslavovyh et Cherevinyh dans« un Petit Tret'jakovke »les propriétés de Neronovo …» - ainsi le deuxième article d'une nouvelle série des publications. Après toute cette recherche historique, que je conduis … il y a une légende mystérieuse sur une certaine femme puissante, qui a sauvé la génération … Une fois cette histoire m'a rêvé. Mais le rêve était tellement extraordinaire que je suis venue avec les questions au père. Ayant recueilli alors selon les miettes du contour de cette légende patrimoniale, l'a inséré il y a trois ans dans la première étude «le Testament de Boris Jaroslavova : Рюриковичи/jaroslavovy …». Il y avait Cependant un temps, et le mythe sur la femme puissante a commencé déjà et à me sembler par le conte de fée. Mais voici le 27 octobre, pour l'anniversaire de mon père B.Jaroslavova, à qui j'ai rapporté à une époque le placement sur le site du premier article «le Théâtre de la vie des nobles de Jaroslavovyh : Vologda-d'Arkhangelsk », quoi qu'à la récompense de cela, moi a entendu soudain un presque rêve, mais« des bouches »M.M.Jaroslavovoj, vivant pour deux siècles jusqu'à moi … Pareil à la mienne la légende a sonorisé la voix hors champ au fond du portrait de M.M.Cherevinoj produit par Jaroslavovoj, dans le film sur la propriété de Neronovo, où elle vivait avec le mari à 18 siècle. Maintenant la propriété est ruinée, et le film sur elle tel lent … et lui, absolument, pour ceux qui est passionné avec le sujet et qui est prêt à passer sur une demi-heure« vivre »à ce rythme calme de la vie individuelle russe. Et soudain dans la finale se passe improbable … Et j'entends le rêve, la légende de la personne M.M.Jaroslavovoj :« Je sens la présence jusqu'à la propriété des forces d'au-delà. Le bruit étrange des pas, par quel - voix féminine, soit pleure, soit gémit … cela Peut l'aïeule de la génération … À оные les temps une certaine femme puissante a protégé notre génération contre la ruine. À la récompense elle a demandé l'exécution de certaines obligations … Quel, cela a été oublié après la prescription des années. Parfois elle apparaît dans la propriété et nous pleurons nous appelle à se RAPPELER ces obligations … ». Pourquoi ce mythe M si dérangeait Jaroslavovu … m'a frappé Pas moins et la finesse чутья les travailleurs de musée créant le film. D'où ils ont pris cette légende. Des lettres de M.M.Jaroslavovoj ? … le film Lui-même à la base d'est consacré à une série des portraits de Jaroslavovyh et Cherevinyh écrits par la main du peintre talentueux de G.Ostrovskogo et восстановленых à l'obstination de Savvy Jamshchikova, qui appellent« comme la personne créant la muse de la restauration ». Les tableaux «Jaroslavovyh-CHerevinyh» font à présent «un Petit Tret'jakovku» le musée De Kostroma … Autrement eux appellent encore «солигаличские les trouvailles». Mais aussi autour de ces portraits un certain secret, comme un certain Fantôme de cette génération, comme ses fans de musée de la collection ont appelé, engendré par le peintre ou ceux qui il dessinait … vit
LE TEXTE INTÉGRAL http://www.yaroslavova.ru/main.mhtml?Part=15&PubID=374
LE DÉBUT
Après toute cette recherche historique concernant la génération de Jaroslavovyh, que je conduis, et après ce nord, qui me conduit dans cette recherche, il y a une légende mystérieuse sur une certaine femme puissante, qui a sauvé la génération, et devant qui notre génération a les obligations non exécutées.
M'a rêvé cette histoire … Mais ce rêve était tellement extraordinaire que je suis plus grande que 10 ans en arrière est venue avec les questions au père. La légende ancien et le père il fallut se rappeler ses conversations avec les ancêtres. Et dans ses ces souvenirs, comme s'est révélé, les échos de la légende semblable étaient. Ayant recueilli selon les miettes du contour de cette légende patrimoniale, je pensais longtemps qu'avec lui me faire. Les habitants disaient : «ne mets pas le sujet avec cette légende sur le site. Ne te comprendront pas». Mais les historiens conseillaient de la laisser dans la mémoire de la génération, parce que l'histoire de plusieurs couches comprend les légendes et les mythes, mais l'expérience des connaisseurs indique que tout juste ces mythes, le plus souvent, et se trouvent la réalité. J'ai ouvert cette légende sur le site il y a trois ans, selon ce motif que cette décision était initialement acceptée, encore jusqu'à tous les conseils. De plus ayant passé sous silence, en effet, sur ce qu'a appris pour la première fois la légende dans le rêve. La responsabilité trop grande m'était infligée par ce rêve lui-même.
Il y avait cependant un temps, je me passionnais pour la recherche elle-même, et le mythe sur la femme puissante a commencé à me sembler déjà par le conte de fée … Surtout, personne ne lui faisait presque l'attention. Et c'était mon affaire privée et mon secret privé.
Mais voici le 27 octobre, pour l'anniversaire de mon père Boris Jaroslavova, à qui j'ai rapporté à une époque le placement sur le site du premier article, d'une nouvelle série planifiée par moi des publications sur Jaroslavovyh («le Théâtre de la vie des nobles de Jaroslavovyh : Vologda-d'Arkhangelsk»), quoi qu'à la récompense de cela, moi a entendu soudain un presque rêve, mais «des bouches» de Maria Mikhaïlovna Jaroslavovoj vivant pour deux siècles jusqu'à moi …
Pareil à la mienne la légende était sonorisée par la voix hors champ au fond du portrait de M.M.Cherevinoj produit par Jaroslavovoj, dans le film sur la propriété de Neronovo, où elle vivait avec le mari à 18 siècle. Maintenant la propriété est ruinée, et le film sur elle tel lent, russe et lui, absolument, pour ceux qui est passionné avec le sujet et qui est prêt à passer sur une demi-heure «vivre à ce rythme calme de la vie individuelle russe. (« Le film sur la propriété »Neronovo).
Et soudain dans la finale, une minute avant la fin du film (24:28), se passe improbable … Et j'entends le rêve, la légende, que me racontent, quoi que de la personne M.M.Jaroslavovoj.
Mais cela sonne ainsi :
M.M.Jaroslavova (Черевина) : «je sens la présence jusqu'à la propriété des forces d'au-delà. Le bruit étrange des pas, par quel - voix féminine, soit pleure, soit gémit … cela Peut l'aïeule de la génération … À оные les temps une certaine femme puissante a protégé notre génération contre la ruine. À la récompense elle a demandé l'exécution de certaines obligations … Quel, cela a été oublié après la prescription des années. Parfois elle apparaît dans la propriété et nous pleurons nous appelle à se RAPPELER ces obligations …» (24:28).
Et maintenant je dans la réduction répéterai cette légende, qui se trouve trois ans chez moi sur le site («le Testament de Boris Jaroslavova»)
L егенда :
L'histoire … raconte sur некоей à la pra-pra-aïeule (femme), qui sépare de notre temps quelques couches, il est possible beaucoup … Bien que selon les sensations cette histoire parte à une certaine période mystique. Cette femme-aïeule, déjà non jeune, fort par l'esprit et on ne sait pourquoi un prenant les décisions (il est possible, déjà la veuve, mais il est possible, occupant le plus haut poste dans une certaine communauté, assuré à celle-ci ou l'état de ses finances, ou un certain statut reçu en héritage), носительница d'une certaine charge morale. La femme, ne permettant pas de se surmonter au malheur, mais solitaire, vivant, paraît-il, dans la réclusion, ou limitant les relations en rapport avec une très haute situation personnelle. La géographie de la résidence l'Europe (la partie plus grand du sud) ou la direction du sud-ouest de Moscou (l'Ukraine moderne, la Biélorussie ?) . Selon la légende, cette grande représentante de la génération a sauvé pour beaucoup de siècles en avant une certaine communauté des gens … Sur cette communauté à ces temps anciens a surplombé la menace immense (gros de sa disparition), mais la communauté était sauvée par l'aïeule de la génération de Jaroslavovyh, à qui on consacre la légende. Est sauvé ou de la disparition, ou de l'épidémie, ou de la misère et la famine, ou de проклятья. Le sauvetage était on ne sait pourquoi conditionné … les obligations sont si forts que leur non-exécution de longue durée devant les héritiers d'une grande femme liée par les gènes à la génération de Jaroslavovyh, a pour effet les tourments terribles sur le lit de mort ces disciples de la communauté sauvée, sur qui est le devoir dans le retour aux héritiers on n'a personne "d'un grand bien». Ils peuvent répondre par la reconnaissance. Mais qu'une grande aïeule a rendu et que pour «grand est bon» doit être rendu ?
Si elle a rendu tous les argent ou le pouvoir ? Ou elle a rendu quelque chose большее, sa douche ? S'il y avait cela un serment sur le sang ? … et cette histoire on peut interpréter ainsi que seulement les héritiers de cette aïeule (en administrant pas trop sur cela) peuvent retirer un certain grand péché, de ceux qui les cherche … En mourant Boris Jaroslavov a dit : «ils se dépêchent beaucoup, et ils n'ont pas de temps. S'ouvre et accède aux désirs vers eux"."Je ne connais pas, qui je dois sauver» - j'embarrasse : «ayant accepté dans des siècles la dette ou la reconnaissance. Dans tous les cas, comme je comprends, il faut les sauver des tourments de la conscience». Voici une telle légende énigmatique mystique comme toute l'histoire de la Russie («Trouve les racines : le Testament de Boris ЯРОСЛАВОВА).
La première question chez moi un tel : Pourquoi qui travaillait sur le film sur la propriété de Neronovo c'ont décidé de reproduire notamment ce mythe par les bouches de M de M Jaroslavovoj. Ils pouvaient le laisser tout à fait «après le cadre», en établissant le découpage du film.
Si, par exemple, je comprenais l'importance de cette légende pour cette raison qu'à nous, ou le plus sensible de Jaroslavovyh il faut se RAPPELER, les créateurs du film de cela ne connaissaient pas. Je non mets en relief par hasard cela se RAPPELER par la police, parce que dans ma version et dans la version de M.M.Jaroslavovoj il y a certaines différences. Nous devons rendre la dette à l'aïeule ? Ou doivent nous rendre ce devoir d'honneur, qui resta impayé devant notre aïeule ? Ou qu'est probable pour les aristocrates et храмовников, mais il est improbable pour les athées : il faut rendre cette dette à notre aïeule dans une nouvelle réalisation de son esprit ? Qui elle cette femme puissante, l'aïeule de la génération ? Comment à nous la trouver ? Être peut il faut trouver quelques tombeaux et passer quel - rites ? Mais peut être, il faut quelque relique de famille mettre à ce tombeau ?
Je comprends ainsi qu'il faut rendre les devoirs d'honneur (ou accepter ?) et le temps non ainsi vraiment il y a beaucoup de …
Et ici la voie un, la restitution de l'histoire de la génération, que je m'occupe.
Quand j'écris les articles, j'écoute les sensations. Il y a des articles, qu'il faut écrire qu'à quelqu'un, par exemple, aider, ou faire l'attention aux Menaces. Mais ils sont proches de moi non si vraiment, parce qu'il faut toucher «la boue en cours». Ou me disent : voici tes articles sur les pronostics du marché mondial pétrolier te réussissent spécialement. Écris-les … les Pronostics de moi ne disparaîtront nulle part, et s'empresser dans cette question il n'y a d'aucune nécessité …
Mais voici quand j'ai écrit le 27 octobre l'article suivant sur Jaroslavovyh, a dit : «je ne me sens jamais ainsi joyeusement, il est bon et il est heureux, comme à ces minutes, quand je restaure l'histoire de la génération».
Il croit, qu'est-ce que c'est l'état déjà même - l'encouragement pour ce que se fait …
Clairement que je ne causais jamais de M.M.Jaroslavovoj. Et personne de Jaroslavovyh n'est venu et n'a pas raconté cette légende. Elle "a été" chez moi dans des siècles et dans le rêve. Je pense que c'est le phénomène non seul, mais rare.
Pourquoi ce mythe dérangeait ainsi Maria Jaroslavovu, et pourquoi elle a fait quelque chose un tel pour le garder à l'histoire, sans regarder tout autour sur les commérages sur la superstition …
Cela on peut appeler «les souvenirs Synodiques de Jaroslavovyh» dans des siècles.
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